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Regards sur...

6 février 2023

La journée mondiale sans téléphone portable et smartphone

La journée mondiale sans téléphone portable, c'est le 6 février. A l'heure où le smartphone est devenu quasiment indispensable, l'objectif de cette journée est de se pencher sur les addictions qu'il peut générer chez les individus. Phil Marso a inventé cette journée il y a déjà vingt ans, à une époque où le rapport que l'on entretient avec cet appareil était bien différent de ce qu'il est aujourd'hui. Très vite Phil Marso a l'intuition que le téléphone va changer nos comportements, nos relations aux autres et à l'intimité et s'en inquiète.

Cette année, l'écrivain interviendra dans les écoles les 6, 7 et 8 février 2023. Plusieurs classes d'élèves prépareront des ateliers pour sensibiliser les nouvelles générations à la maîtrise du smartphone sur le plan addiction, santé, vie privée, écologique etc. Phil Marso encourage les usagers à maîtriser l’outil au quotidien pour éviter une dépendance. L'occasion pour tout un chacun de retrouver les vertus de l'ennui, de nouer le dialogue avec ses voisins, de lire un livre ou de profiter des paysages ... en relevant la tête.

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5 février 2023

La méditation à coeur ouvert de Frédéric Lenoir

3 février 2023

Les algorithmes "sociaux" rendent le débat public impossible

2 février 2023

Les technologies partout, la démocratie nulle part

"L’IA fascine, mais pouvons-nous lui déléguer la compétence de décider à notre place ? Les “Big tech” sont en effet devenues à ce point puissantes que l’IA modèle déjà nos manières de penser et de nous comporter. Non seulement des algorithmes dont nous ne savons rien nous inculquent ce qu’il faut savoir, voir et croire, mais en plus nos activités sont dirigées de telle sorte que nous alimentons des bases de données génératrices – toujours grâce à des algorithmes – de profits colossaux. Cette emprise des nouvelles technologies modifie l’humain, mais dans quel sens ?

À l’ère de l’intelligence artificielle et des neurotechnologies, des questions fondamentales émergent indéniablement et il conviendrait de se les poser collectivement. Ces questions n’émanent pas seulement de spécialistes, mais aussi de la société civile et concernent notre avenir à tous. [...] Ces devenirs techniques font-ils l’objet de vastes débats démocratiques suffisamment informés ? Notre conception de la démocratie permet-elle de faire remonter toutes les voix et de garantir les droits de chacun et chacune ?"

Source: extraits choisis d'un article de La Libre

algorithme1

1 février 2023

Les plastiques biodégradables ont de l'avenir

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31 janvier 2023

L'enquête Noir Jaune Blues révèle une détresse populaire

"Un Belge sur deux souhaiterait une gouvernance autoritaire. C’est ce qu’il ressort de l’enquête "Noir Jaune Blues", publiée par la RTBF et Le Soir et réalisée en collaboration avec la Fondation "Ceci n’est pas une crise". Alors, comment le philosophe Vincent de Coorebyter interprète-t-il cette tendance ? Selon lui, il faut nuancer cette enquête. En effet, "il y a plusieurs réponses massives en faveur d’un chef autoritaire, mais à chaque fois on note que ce chef doit vraiment comprendre le peuple." L’aspiration des Belges ne serait pas d’avoir un dictateur, mais bien quelqu’un qui serait l’expression de la voix populaire. Le philosophe y voit aussi un attachement à la démocratie et à son principe ultime : la souveraineté populaire.

Vincent de Coorebyter reconnaît qu’un certain nombre d’inquiétudes peuvent être nourries par l’enquête. "Je ne suis pas en train de dire que cette majorité forte qui s’exprime en faveur de ce type de solution est rassurante. C’est exactement la voie qui a conduit à la présidence de Trump aux Etats-Unis, à celle de Bolsonaro au Brésil…", conçoit-il. "La récupération politique potentielle de ce type d’attente ou de vision est extrêmement dangereuse." "Mais cela ne veut pas dire que l’aspiration telle qu’elle s’énonce est une embardée en dehors de la démocratie par amour de l’autoritarisme." Ce n’est donc pas l’expression d’un fascisme populaire, "mais c’est d’abord l’expression d’une détresse populaire", estime le philosophe.

"Ce qui me frappe, c’est qu’il y a une critique claire de la démocratie représentative telle qu’elle fonctionne en Belgique avec des partis politiques, des corps intermédiaires, des syndicats, des fédérations patronales, des groupes de pressions,…", conclut Vincent de Coorebyter. "Tout cela paraît trop lent, inefficace, trop compliqué." In fine, cette enquête traduit donc aussi le besoin d’une société plus solidaire, plus finement attentive à la diversité des situations."

Source: extraits choisis d'un article de la RTBF

31 janvier 2023

Les petits philosophes évoquent la mort

30 janvier 2023

La culture de la sobriété devra s'imposer demain

29 janvier 2023

La définition d'un but clair pour l'Occident dans la guerre en Ukraine

"Les Ukrainiens ont, apparemment, un but clair: reconquérir la totalité de leur territoire.[...] Les Russes, aussi, ont apparemment un but clair: occuper toute l’Ukraine et en refaire une province de la Grande Russie.[...] Les Chinois, eux, ont une position explicitement ambiguë: ne pas se mêler du conflit, tout en faisant comprendre aux Russes qu’ils n’accepteront pas une escalade excessive, en particulier nucléaire. Les Occidentaux sont, eux, dans le flou le plus total: ils voulaient d’abord tout faire pour empêcher le conflit. Puis ils ont aidé les Ukrainiens du bout des lèvres, en tremblant de voir la Russie les considérer comme des cobelligérants. Peu à peu, ils se sont engagés d’avantage, jusqu’à livrer bientôt des armements qu’on peut difficilement qualifier de purement défensifs. Et après ?[...]

Alors que l’Histoire nous apprend qu’on ne gagne une guerre que quand on a un but de guerre très clair.[...] Pour l’Occident aujourd’hui, il est donc urgent de se fixer un but de guerre; en particulier pour les Européens, voisins du conflit. Et qui en paient déjà le prix. Pour moi, ce but est clair: en finir avec toutes les dictatures en Europe et dans son voisinage pour construire une Europe démocratique et pacifique. Naturellement, on ne peut imaginer faire la guerre à la Russie pour en changer le régime. Par contre on peut, et on doit, préparer le moment où les Russes auront retrouvé le chemin de la construction d’une démocratie, qu’ils avaient emprunté à la fin du siècle précèdent. Et, pour cela leur faire miroiter ce que serait leur sort dans ce cas.[...]

Les Occidentaux devraient clairement faire savoir que leur but, dans cette guerre, est de faire en sorte que la Russie ne soit plus une dictature agressive, piétinant les Droits de l’Homme et vindicative; qu’il n’est pas dans leur intérêt qu’elle soit coupée en morceaux et qu’un gigantesque empire islamique se structure à la frontière de l’Europe, pendant que la Chine récupèrerait les territoires et les réserves de matières premières de la Sibérie. Et qu’il est de leur intérêt au contraire de l’inclure irréversiblement dans un ensemble démocratique européen.

Pour cela, il serait utile, dès maintenant, de préparer ouvertement, avec toutes les institutions compétentes, un plan massif de reconstruction de la région, de la Biélorussie à l’Albanie, de Kiev à Vladivostok. Un plan intégrant les uns avec les autres, et qui ne serait activé dans un pays que lorsque celui serait de retour sur le chemin de la démocratie."

Source: extraits choisis d'un article de Jacques Attali

paix ukraine

28 janvier 2023

Les "nouveaux" loups du web, documentaire de 2016

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