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Regards sur...

4 décembre 2021

L'écologiste sage qui inventa la sobriété heureuse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 décembre 2021

La révolution de l'amour pour notre avenir

1 décembre 2021

Les jeunes diplômés qui refusent le "système" détruisant la planète

« Vous êtes l’élite de la nation » ; « vous construirez le monde de demain ». C’est ce que l’on répète chaque jour à ces étudiants des grandes écoles [françaises]. Comme leurs aînés, ils n’ont aucune raison de se révolter, car une fois diplômés, leur avenir est assuré aux meilleures places. Et pourtant, nés autour des années 2000, grandis dans l’angoisse de l’urgence climatique, ils sont de plus de plus nombreux à se rebeller contre l’héritage catastrophique laissé par les générations précédentes.

Pour cette « génération climat », l’année 2018 marque un tournant. Les 15-25 ans s’éveillent à la lutte écologiste : grèves scolaires, marches mondiales et actions de désobéissance civile à grande échelle se multiplient. Désormais, plutôt que de servir un capitalisme mortifère, ils refusent les places qui leur sont promises et partent en quête de modes de vie alternatifs. Tout en s’inventant de nouvelles vies professionnelles en accord avec leurs convictions, ils investissent les ZAD, construisent des cabanes et cultivent des potagers dans une joyeuse mais radicale remise en cause du « système » qui détruit la planète.

Ce livre d’enquête et d’entretiens retrace la trajectoire de ces futures élites en colère qui, entre désertion et prise d’armes, ont changé leur vie pour mieux « construire le monde de demain ». On n’a pas fini de les entendre."

Source: Quatrième de couverture du livre "La Révolte: Enquête sur les jeunes élites face au défi écologique" par la journaliste du quotidien Le Monde, Marine Miller.

Ecoutez aussi l'épisode "Rebelles surdiplômés" du podcast "De cause à effets".

25 novembre 2021

La journée internationale contre la violence à l'égard des femmes

19 novembre 2021

La biodiversité en péril, comprendre avec un biologiste

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16 novembre 2021

La part belle à nos pulsions et à l'émotion sans réflexion

"Nous vivons dans une époque dont le "surmoi" (qui protège le "moi" de ses pulsions selon Freud) s'est égaré. Le "ça", qui lui joue avec nos envies inconscientes et désordonnées de tout, tout de suite, a pris le dessus. Et le résultat de cette bataille qui n'en est plus une, faute de combattant entre le "ça" et le "surmoi", trouve toute liberté d'exprimer un "moi" hypertrophié à travers les réseaux sociaux et un consumérisme débridé. L'émotion ne prend plus le temps de la réflexion et du combat intérieur. Tout est épidermique. Tout est réaction. L'acte d'achat, par-delà nécessité ou envie, est devenu impulsion. La polémique, le raccourci le plus sûr pour se faire un nom. Il faut réagir à tout, et vite. On en vient dans l'élan de la course à raconter n'importe quoi sans le penser, juste pour faire parler de soi. On commente les commentaires, sans rien apporter, dans un rétrécissement de la pensée. On ajoute du bruit au bruit. Au vacarme de la "machine" qui couvre les sons réfléchis."

Source: extrait (p. 45) du livre "Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce" de Corinne Morel Darleux

14 novembre 2021

Les résultats limités de la COP26

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir aussi l'article d'Euronews

14 novembre 2021

Les illusions tenaces de nos sociétés occidentales

"Nous vivons surtout dans une société verrouillée par deux illusions. La première tient dans la quête d’une croissance infinie, qui sous-entend que tous nos désirs matériels pourraient être comblés indéfiniment. La seconde illusion relève du besoin de contrôle sur tous les phénomènes, comme la mort, la santé et l’ensemble des comportements des uns et des autres. Cette soif de contrôle nous montre que nous avons peur de l’inconnu. Or, la base même du vivant est l’impermanence, sujet au mouvement, à une danse vers le mystère ! Voilà donc deux illusions responsables de l’extinction de la vie.

Et nos institutions aux hiérarchies pyramidales, qui vivent dans ce besoin de contrôle excessif, se retrouvent paralysées dès qu’un imprévu survient. Le système se replie alors sur son propre dogme, favorisant les inégalités et la peur, mais est-il encore représentatif de ses communautés ? Respecte-t-il les grandes lois de la vie ? Et qu’en est-il de notre responsabilité individuelle, de notre libre arbitre, dans toutes ces actions collectives ? En cela, nous avons quelques deuils à effectuer."

- Sébastien Lilli, Président de l'INREES

Source : Extrait d'un article de la revue Inexploré

13 novembre 2021

La modification générale des débats publics en France

"Aucune digue n’empêche plus aujourd’hui les représentants de l’extrême droite, voire de l’ultra-droite, d’intervenir dans les médias sous couvert d’objectivité et de respect de la pluralité politique. Certains offrent même une tribune de choix aux plus fervents réacs. Lesquels y dénoncent pêle-mêle l’islamo-gauchisme, le wokisme, la cancel culture (« on ne peut plus rien dire »), l’immigration incontrôlée ; à l’inverse, les tentatives d’expliquer sociologiquement un événement ou un comportement sont fréquemment assimilées à la « culture de l’excuse » et par là même dévaluées. Il n’en a pas toujours été ainsi.

L’omniprésence de ces discours est un symptôme de la modification plus générale des débats publics et des nombreuses batailles culturelles (à commencer par la lutte contre le racisme) que la gauche a perdues. Si l’on reprend toute la chaîne qui conduit de la production jusqu’à la diffusion des idées, les équilibres se sont considérablement modifiés depuis les années 1970. Des nouvelles règles du monde intellectuel à la concentration de l’édition et des médias, en passant par la transformation des partis politiques, tout est fait pour que les fast thinkers et les experts auto-proclamés triomphent et portent haut la voix de la réaction. Jusqu’à quand ?"

Source: Quatrième de couverture du livre "Comment sommes-nous devenus réacs ?" de Frédérique Matonti

12 novembre 2021

Les méthodes du pouvoir biélorusse et le patriotisme polonais dénoncés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"A 94 ans, une ancienne résistante polonaise défend les migrants et l'Union européenne. Son dernier cheval de bataille: le traitement des migrants, et notamment des enfants, à la frontière entre la Pologne et le Bélarus, qui lui rappelle la façon dont les nazis traitaient les juifs et les opposants: "Nous n'avons pas le droit de laisser un enfant dans une situation dangereuse. Pour moi, la façon dont ces enfants sont traités [à la frontière] est honteuse", s'insurge Wanda Traczyk-Stawska." Source : Euronews

Voir aussi l'article de La Libre: Il est grand temps que l’Occident revoie sa définition de la guerre et joue le même jeu que ses adversaires

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