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Regards sur...
27 février 2022

La folie porte un nom : Vladimir Poutine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir aussi l'article de La Libre "Poutine joue avec son arsenal nucléaire"

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25 février 2022

Le discours de paix du Président Ukrainien

24 février 2022

Les morts se comptent par dizaines en Ukraine et de l'aide est demandée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La règle est simple: Si le pouvoir russe vous dit que vous n'avez rien à craindre, c'est à ce moment-là qu'il faut prendre peur.

24 février 2022

La Chine ne condamne pas l'attaque russe

Conflit en Ukraine: la Chine dit "suivre de près" la situation... sans condamner. Pékin a exhorté jeudi toutes les parties à la "retenue" après l'intervention militaire russe en Ukraine, se refusant toutefois de décrire l'attaque comme une "invasion" du pays d'Europe orientale.

Source : La Libre

24 février 2022

La Russie attaque massivement l'Ukraine

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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22 février 2022

Le prétexte de Poutine pour poursuivre l'annexion de territoires ukrainiens

"Ce conflit a démontré une chose importante : l'ordre sécuritaire européen est profondément remis en cause."

- Nicolas Gosset, chercheur au Centre d'études de Sécurité et Défense.

Source : article de La Libre "L'annonce de Poutine, un tournant historique dans les relations Russie-Ukraine ?"

19 février 2022

La guerre en Europe aura-t-elle lieu ?

"Le président américain Joe Biden s'est déclaré "convaincu" vendredi que Vladimir Poutine avait décidé d'envahir l'Ukraine, et que la multiplication des heurts visait à créer une "fausse justification" pour lancer l'offensive dans la semaine ou même les jours qui viennent. [...]

Washington estime que la Russie dispose de 190.000 hommes aux abords de l'Ukraine et sur son territoire, en comptant les forces séparatistes. C'est "la plus grande concentration de troupes militaires" depuis la Guerre froide, a dit le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, jugeant que Moscou était "en mesure, sans autre forme d'avertissement, d'attaquer".

Le Pentagone a affirmé vendredi qu'entre 40% et 50% de ces troupes russes sont "en position d'attaque", et que les heurts sur la ligne de front font partie d'une "campagne de destabilisation de l'Ukraine" préliminaire à une invasion. Le ministre de la Défense américain Lloyd Austin a lui aussi affirmé à la chaîne ABC que la Russie avait rassemblé les éléments "nécessaires à une invasion réussie". "Je ne crois pas que ce soit du bluff", a-t-il déclaré. [...]

Le président de la chambre basse du Parlement russe, Viatcheslav Volodine, a assuré que la Russie allait "défendre" les "citoyens russes" qui vivent dans les territoires séparatistes en Ukraine si leurs vies étaient "menacées".

"Si la guerre commence, c'est l'Europe qui deviendra le théâtre des hostilités", a-t-il prévenu."

Source: article de La Libre

Lire également la chronique sur La Libre "J’ai trop vu et trop vécu pour croire un seul mot émanant de Moscou"

Ecoutez le podcast de Christine Ockrent "Affaires Etrangères": Guerre hybride: l'expérience de l'Ukraine

16 février 2022

Les opinions au même niveau que les savoirs : comprendre avec le sociologue JC Kaufmann

"Alors que, dans les institutions républicaines, le savoir était organisé et hiérarchisé, nous assistons actuellement au vaste mouvement de sa démocratisation, où l'opinion de chacun tend à valoir autant qu'un résultat issu de la recherche scientifique, avec ses méthodes, ses protocoles et ses validations. Dans les arènes médiatiques (appels téléphoniques des auditeurs à la radio, témoins en plateau à la télévision, commentaires sur la Toile), les uns et les autres sont souvent placés au même niveau, et il n'est pas rare que les confrontations tournent au désavantage des spécialistes, handicapés par la complexité de ce qu'ils veulent démontrer ou par leur ton professoral, de plus en plus perçu comme une insupportable et hautaine arrogance.

Quand une polémique éclate, les articles favorables aux diverses croyances sceptiques sont beaucoup plus nombreux que ceux qui défendent les résultats scientifiques prouvés (56% contre seulement 10% sur la question de l'impact des ondes, par exemple). Car la tendance à se défier du "système" (dont la science est partie prenante, avec les politiques et les médias) est grandissante. C'est désormais l'opinion venue de la base qui est en position de force, condamnant les détenteurs d'un savoir éprouvé à n'intervenir qu'avec modestie et discrétion. Ou à adopter le même style péremptoire que leurs contradicteurs, les mêmes simplifications, les mêmes semi-vérités. Ainsi voit-on de nombreux scientifiques publier (et diffuser dans la presse grand public) leurs résultats fragmentaires avant qu'ils ne soient suffisamment vérifiés.

Quant aux journalistes, dont une majorité est précarisée et condamnée à travailler dans des conditions d'urgence, ils ont du mal à mettre en oeuvre une véritable procédure de vérification des sources et privilégient souvent la solution de facilité, qui est de reproduire une information fournie par un service de communication cherchant à imposer sa propre "vérité" ou résultant d'une rumeur non fondée, et qui tourne ensuite en boucle. Quand ils cherchent à vérifier, ils sont pris dans le piège du populisme de la Toile, qui se méfie des médias dits "mainstream", soupçonnés de pratiquer la rétention d'informations et de ne pas livrer au bon peuple les vérités cachées, ce qui, paradoxalement, peut placer en position d'autorité les auteurs des rumeurs les plus folles. Ce qui vient d'en bas est drapé dans la vertu des vérités révélées, avec l'excitation qui sied à cet exercice.

La démocratisation du savoir a bien entendu une face positive - il faut toujours commencer par le souligner. Ainsi les milieux modestes utilisent-ils Internet pour découvrir le sens des mots compliqués et résister aux injonctions bureaucratiques. Cette démocratisation brisent les hiérarchies et les privilèges réservés à une élite. Mais la manière dont elle se développe génère des effets pervers considérables, dont nous commençons seulement à saisir toute la gravité. La principale conséquence négative de l'élargissement du savoir tel qu'il se produit actuellement est qu'il s'inscrit dans des univers de plus en plus fermés sur eux-mêmes."

Source: extraits du chapitre "Les savoirs égalitaires" du livre Jean-Claude Kaufmann "La fin de la démocratie: Apogée et déclin d'une civilisation."

15 février 2022

Les propos visionnaires de l'océanographe Jacques Piccard en 1972

13 février 2022

Les menaces systémiques ne nous font pas reculer

"Nous nous sommes fourvoyés. Ce n’est pas l’information qui nous fait défaut, nous en sommes submergés mais le fait est que nous avons appris à nous déconnecter des sentiments que nous inspirent l’accumulation des déchets et de la pollution qui s’ensuit, les sécheresses à répétition ou les inondations dévastatrices, la perte vertigineuse de la biodiversité, l’exploitation déraisonnable des ressources limitées de la planète et c’est bien là que le bât blesse : nous avons perdu le contact avec la nature dont nous sommes faits."[...]

Nous constatons une « déconnexion entre l’ampleur des menaces avérées et le calme avec lequel on continue tranquillement à faire comme si de rien n’était » (Bruno Latour).

"Tout nous porte donc à continuer à nous comporter « as usual », à considérer la nature comme notre propriété dont on peut user et abuser comme nous y invite la course effrénée à la croissance du PIB (Produit Intérieur Brut) considéré comme le seul indice de nature à mesurer notre bonheur. Il faut donc et de toute urgence décoloniser nos esprits, les libérer de cette chasse à la possession d’objets censés nous combler. Bien plus, il s’agit de prendre conscience que la nature n’est pas un stock de ressources inépuisables, mais que nous en faisons partie, que nous en sommes l’expression dont la pointe semble même la conduire à sa perte. [...]

A moins d’opérer une véritable révolution, en retrouvant notre véritable place dans la nature, en cessant de vouloir en être les propriétaires exclusifs, en renouant avec l’émotion d’en faire humblement partie, dans un souci de sobriété et surtout de solidarité."

Source : extraits choisis d'un article de La Libre

Voir aussi l'article de La Libre Les impacts dévastateurs du réchauffement au crible de 195 pays

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