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Regards sur...

14 janvier 2024

La seule envie d'être assis au milieu de la beauté

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13 janvier 2024

La véritable histoire de deux migrants sénégalais partis pour l'Europe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir aussi un article de La Libre qui résonne comme un avertissement.

11 janvier 2024

La transformation de la conscience individuelle est la clé du changement

« Est-il signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade ? »

- Krishnamurti

10 janvier 2024

La redistribution des tâches entre humains et IA adviendra-t-elle ?

"Il n’est mathématiquement pas concevable de maintenir les niveaux de vie en Occident sans un recours massif à l’automatisation ou à l’immigration. Si bien qu’à contre-courant des prédictions alarmistes, il ne serait peut-être pas absurde de se demander si l’IA sera capable d’automatiser suffisamment vite et fort pour compenser l’inéluctable érosion de la population active. Il est permis d’en douter à plusieurs titres.

D’abord, parce qu’incorporer la technologie dans le fonctionnement des organisations est infiniment plus complexe qu’un rapide dialogue avec ChatGPT. Ceci implique qu’il y aura inéluctablement un décalage qualitatif et temporel important entre les possibilités théoriques de la technologie, et son effet productif réel. Ensuite, parce qu’aussi intelligente qu’elle parvienne à se faire passer, la technologie a plus de chances de déplacer ou modifier le travail que de le supprimer purement et simplement. Si la numérisation a largement contribué à une information plus abondante, riche et accessible, elle s’est aussi accompagnée d’un accroissement considérable des tâches bureaucratiques.

Plus la machine est capable de calculer, de raisonner voire de produire, et plus nous nous transformons – comme le prédisait déjà Thoreau au XIXe siècle – en outils de nos propres outils, désormais chargés de l’alimenter en données, et de contrôler son travail en sortie. Un médecin ne travaille pas moins qu’avant, mais il passe désormais plus de temps à encoder des prescriptions et autres documents électroniques ou à contrôler le diagnostic posé par une machine qu’à soigner ses patients. Le danger n’est donc sans doute pas la disparition du travail, mais une profonde redistribution des tâches entre humains et machines, laissant aux secondes la part la plus productive des activités."

Source : extrait d'un article de La Libre par les Professeurs Nicolas van Zeebroeck (ULB) et Bruno Colmant (ULB et UCLouvain).

9 janvier 2024

L'Europe sera-t-elle soumise aux prédateurs dans l'avenir ?

"Presque deux ans après le début de l’offensive russe contre l’Ukraine, les promesses de « fin de l’histoire » et d’apaisement des conflits évoquées après la chute du mur de Berlin semblent appartenir à un passé lointain. De l’Afghanistan au Caucase, du Sahel à la Lybie, de la Syrie à l’Ukraine et de la Corée du Nord à Taiwan, les zones d’affrontements ne cessent de s’élargir sur fond d’échec patent des institutions internationales.

Non seulement la mondialisation anglo-saxonne n’a pas apporté un surcroît de paix au monde mais elle a, au contraire, été utilisée par les puissances identitaires comme la Chine, la Russie ou la Turquie pour étendre leurs influences, satisfaire leurs besoins grandissants en énergie et en ressources et s’opposer toujours plus frontalement à l’hégémonie américaine.

Quant à l’Europe et à la France en particulier, hantées par le désenchantement et le doute, assaillies par des vagues migratoires hors de contrôle, elles semblent dépassées par l’accélération des mutations technologiques et immobilisées par le cadre juridique supranational de l’UE. Pour la plupart des analystes, la situation géopolitique actuelle est pire qu’aux heures les plus tendues de la guerre froide et l’hypothèse d’un drame nucléaire ne peut plus être totalement écartée. Le monde se dirige-t-il vers un choc global ?"

Source : 4eme de couverture du livre "Vers un choc global ?"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 janvier 2024

L'influence de l'humanité sur le monde et notre avenir par Laurent Testot

5 janvier 2024

Le temps consacré aux machines est perdu pour les relations humaines

"Les interactions avec des ordinateurs et autres robots n’ont jamais été aussi élevées : aux “Dis Siri” et “Ok Google” se sont ajoutés les “Bonjour ChatGPT” et “Hello Bard”, sans compter sur les centaines de milliers d’utilisateurs d’applications comme Replika par exemple. Pour rappel, Replika est un agent conversationnel basé sur une technologie proche de celle derrière ChatGPT et qui permet de se créer une sorte de compagnon imaginaire avec qui discuter. Vous pouvez lui donner certains traits de caractère et l’algorithme en “développera de nouveaux” basés sur les interactions que vous aurez avec lui. Certains utilisateurs cherchent juste à se créer une personne avec qui discuter, d’autres un ou une partenaire de vie dont ils avouent tomber amoureux. Mais derrière le succès commercial de cette entreprise se dessine un succès bien plus terrible : celui de la solitude qui ronge nos sociétés. En effet, le temps passé à “chatter” avec votre réplique d’un être humain est un temps qui n’est pas passé à socialiser, à débattre, à charmer, à rire avec d’autres membres de notre espèce.

Des études menées aux États-Unis rappelaient récemment que la solitude prolongée était aussi nocive pour la santé que l’obésité ou le fait de fumer 15 cigarettes par jour. [...] Les jeunes qui utilisent les réseaux sociaux et applications de conversation plus de deux heures par jour ont deux fois plus de chance de montrer des symptômes de dépression que des individus y passant moins de 30 minutes quotidiennement. [...] Ces interminables discussions, les yeux rivés sur un écran et les pouces qui s’agitent, empêchent toute prise de recul car elles empêchent ce moment où rien ne se passe et où l’esprit vagabonde. Cette épidémie de solitude vient peut-être du fait que, précisément, ces moments d’inactivité nous effraient et qu’un “Bonjour ChatGPT” nous permet si facilement de les annihiler."

Source : extraits choisis d'une chronique de La Libre de Louis de Diesbach, éthicien de la technique, consultant au Boston Consulting Group et auteur. Voir aussi son nouveau livre "Bonjour ChatGPT".

4 janvier 2024

L'usage excessif des écrans par les jeunes est problématique

"Troubles du comportement, déficits intellectuels, problèmes de santé… : l’usage généralisé du numérique par les jeunes est lourde de conséquences. Première synthèse des études scientifiques sur le sujet, ce livre est celui d'un homme en colère. « Ce que nous faisons subir à nos enfants est inexcusable. Jamais sans doute, dans l’histoire de l’humanité, une telle expérience de décérébration n’avait été conduite à aussi grande échelle », estime Michel Desmurget. La conclusion est sans appel : attention écrans, poisons lents !

Extrait 1 : « Le message de la littérature scientifique disponible est clair, cohérent et indiscutable : plus les élèves, lycéens, collégiens et étudiants consacrent de temps à leurs joujoux numériques et plus leur niveau scolaire baisse. Jamais sans doute, dans l’histoire de l’humanité, une telle expérience de décérébration n’avait été conduite à aussi grande échelle. »
Extrait 2: « Si vous voulez assurer l’acquisition et la maîtrise du langage chez l’enfant : éloignez-le des écrans, parlez-lui, lisez-lui des histoires et offrez-lui des livres ; et si vraiment les romans ne passent pas, essayez les bandes dessinées dont la richesse langagière est souvent stupéfiante. »

"La lecture pour le plaisir est un antidote majeur à l’émergence du « crétin digital ». Des centaines d’études montrent le bénéfice massif de cette pratique sur le langage, la culture générale, la créativité, l’attention, les capacités de rédaction, les facultés d’expression orale, la compréhension d’autrui et de soi-même, ou encore l’empathie, avec, in fine, un impact considérable sur la réussite scolaire et professionnelle. Aucun autre loisir n’offre un éventail de bienfaits aussi large. À travers la lecture, l’enfant nourrit les trois piliers fondamentaux de son humanité : aptitudes intellectuelles, compétences émotionnelles et habiletés sociales. La lecture est tout bonnement irremplaçable. Michel Desmurget montre que nos enfants lisent de moins en moins, rejette l’idée qu'un écolier sait lire quand il sait déchiffrer et rappelle que lire c’est comprendre. Enfin, tout en reconnaissant l'importance de l'école, il souligne le rôle essentiel du milieu familial pour susciter puis entretenir le goût de la lecture chez l’enfant."

Sources : 4eme de couverture des livres de Michel Desmurget, docteur en neurosciences et directeur de recherche à l’INSERM.

Pour éviter La fabrique du crétin digital, alors Faites-les lire !

Dans un sketch parodique de 1991, Les Inconnus plaisantaient avec ces paroles de chanson : "Je sais pas comment te dire ce que je peux pas écrire, faudrait que j'invente des mots qu'existent pas de la dico..." Eh bien, 30 ans plus tard, c'est le cas !

Ecoutez également l'émission "La tyrannie du divertissement" du podcast Trendspotting

3 janvier 2024

L'avènement d'un monde meilleur est un choix

2 janvier 2024

La communication sur l'écologie doit convaincre par l'intérêt pour le citoyen

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