Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Regards sur...

24 avril 2021

Le dialogue entre générations pour les questions de climat

"Engagées contre le dérèglement climatiques, nos quatre intervenantes ont choisi de se réunir pour partager leur expérience et leur conscience des risques qui pèsent sur l'humanité. Ensemble, elles dressent le constat de la lutte, depuis les années 60 au premier rapport du Club de Rome et jusqu'aux grèves étudiantes de 2019. Au fil de leurs discussions, elles interrogent les concepts de croissance, de transition juste, de gouvernance et de responsabilisation face à un système à bout de souffle. Si aujourd’hui, les questions écologiques ne peuvent plus être niées, force est de constater que les réponses à y apporter clivent les générations. Pourtant, au-delà du « à qui la faute », il apparait nécessaire de se lancer dans un mouvement commun et solidaire pour construire le monde de demain et trouver de vraies solutions."

Source: Quatrième de couverture du livre "Quel monde pour demain: dialogue entre générations ?"

Publicité
Publicité
23 avril 2021

Les grandes puissances augmentent leurs exigences climat

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source: Euronews

22 avril 2021

Le manifeste destiné à la jeunesse pour sauver la planète

21 avril 2021

L'Europe veut réguler le développement de l'intelligence artificielle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'UE veut créer un contrat de confiance pour l'IA. Source: Euronews

 

19 avril 2021

La militarisation de l'intelligence artificielle est un sérieux danger

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Lire aussi: "Robots tueurs: A quand un traité d'interdiction ?"

Publicité
Publicité
18 avril 2021

L'Europe sera contrainte d'ajuster son projet

"Le XXIe siècle marque une rupture géopolitique radicale, car l’enjeu des tensions passe de la rivalité des États à la survie de l’humanité face au péril environnemental. Le climat s’impose comme un puissant facteur d’unité du monde. Il ne s’agit plus d’abord de la quête de l’hégémonie entre États, mais de la recherche d’un équilibre viable entre biosphère et humanité. Car nous sommes désormais exposés à trois mêmes périls : changement climatique, destruction de la biodiversité et pandémies à répétition. Certes, les rapports de force stratégiques resteront un facteur structurant de l’ordre mondial, mais ils sont subordonnés à la lutte de toute l’humanité contre les mêmes dangers. Ils appellent une coopération entre tous les États, Chine et États-Unis compris, malgré leur rivalité systémique. [...]

La mise en place d’un plan de relance [européen post-Covid], relativement modeste, s’avère compliquée par les manœuvres politiques et par un débat juridique en Allemagne. Et puis viendra le temps de l’apurement incontournable de la dette Covid qui pourrait se compliquer d’un relèvement des taux obligataires. Ils vont aggraver les écarts structurels au sein de l’UE-27. [...] Bref, L’Europe au lendemain du Covid-19 débouche sur un immense chantier ouvert. Le travail de conscientisation des citoyens éclairés doit être entrepris par de grands partis transnationaux à naître, porteurs de visions audacieuses sur le rôle de l’Europe dans le monde et sur les conditions internes de sa robustesse. Mais avant tout, le projet européen doit redevenir civilisationnel : une ouverture au bien, au vrai et au beau, sous-tendue par une vie de l’esprit."

Source: Extrait choisis d'un article de La Libre

17 avril 2021

Le courage de la nuance

"Nous étouffons parmi des gens qui pensent avoir absolument raison", disait Albert Camus, et nous sommes nombreux à ressentir la même chose aujourd’hui, tant l’air devient proprement irrespirable. Les réseaux sociaux sont un théâtre d’ombres où le débat est souvent remplacé par l’invective : chacun, craignant d’y rencontrer un contradicteur, préfère traquer cent ennemis. Au-delà même de Twitter ou de Facebook, le champ intellectuel et politique se confond avec un champ de bataille où tous les coups sont permis. Partout de féroces prêcheurs préfèrent attiser les haines plutôt qu’éclairer les esprits.

Avec ce livre, Jean Birnbaum veut apporter du réconfort à toutes les femmes, tous les hommes qui refusent la "brutalisation" de notre débat public et qui veulent préserver l’espace d’une discussion aussi franche qu’argumentée. Pour cela, il relit les textes de quelques intellectuels et écrivains qui ne se sont jamais contentés d’opposer l’idéologie à l’idéologie, les slogans aux slogans. Renouer avec Albert Camus, George Orwell, Hannah Arendt, Raymond Aron, Georges Bernanos, Germaine Tillion ou encore Roland Barthes, ce n’est pas seulement trouver refuge auprès de figures aimées, qui permettent de tenir bon, de se tenir bien. C’est surtout retrouver l’espoir et la capacité de proclamer ceci : dans le brouhaha des évidences, il n’y a pas plus radical que la nuance.

Source: Quatrième de couverture du livre "Le courage de la nuance" de Jean Birnbaum, journaliste et essayiste.

Ecoutez le débat sur France Culture "Y a-t-il place pour la nuance dans la France d’aujourd’hui ?"

14 avril 2021

L'heure des solutions favorables au climat par Bertrand Piccard

11 avril 2021

Les doux rêves dépourvus d'éthique des entreprises favorisant l'IA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Si la technologie doit être plus humaine pour gagner notre confiance, il semble aussi essentiel d'intégrer de la valeur humaine dans ses formes plus complexes comme l'intelligence artificielle et le machine learning pour les rendre dignes de confiance. D'où cette question : la technologie est-elle fiable ? Non, pas toujours. Cela dépend de ce que l'humain intègre comme données pour la guider.

En 2015, le système de recrutement d'Amazon doté d'intelligence artificielle avait eu comme effet pervers d'exclure les CV qui indiquaient une notion se rapportant aux femmes. Autre exemple : d'après une étude de 2018, les algorithmes de reconnaissance faciale aboutissent à davantage d'erreurs de détection pour les personnes à la peau noire que pour celles à la peau blanche. En 2020, des constats similaires avaient soulevé des critiques sur un potentiel profilage racial, poussant Microsoft, IBM et Amazon à refuser de vendre leur logiciel d'analyse des visages à la police américaine.

Malgré cela, seules 25% des entreprises tiennent compte des conséquences éthiques avant d'investir dans l'intelligence artificielle selon Price Waterhouse Coopers qui estime que cette technologie apportera environ 13.000 milliards d'euros à l'économie mondiale en 2030. [...]

Une start-up de Dubaï "apprend à la machine, la détection des émotions, grâce à 30.000 visages différents. Objectif : apprendre à la technologie à être plus consciente de l'homme en attendant qu'elle ait une conscience humaine..."

Manifestement, nous cherchons inexorablement à donner une "conscience humaine" à l'intelligence artificielle, mais nous ne savons pas vraiment quelles en seront les conséquences sociales. Assurément, nous ne pouvons pas nous arrêter pour nous poser de bonnes questions car "cette technologie apportera environ 13.000 milliards d'euros à l'économie mondiale en 2030."

Source: Extraits choisis d'Euronews 

8 avril 2021

L'inaction collective face au dérèglement climatique

"Je ne comprends pas comment l'humanité assiste, en spectateur informé, à la gestation de sa propre tragédie."

- Nicolas Hulot. Propos tenus dans l'émission "De cause à effets".

Publicité
Publicité

feuille-turquoise

Publicité

stylo plume

Visiteurs
Depuis la création 19 121
Publicité