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Regards sur...
26 février 2016

Le reboisement

Réduire et compenser ses émissions de CO2

Nous savons tous maintenant que nos activités humaines génèrent trop de polluants.  Nous devons donc réduire notre impact écologique, et ceci de manière intensive et constante. Mais nos efforts de réduction ont des limites, c’est pourquoi il est donc également important de combiner sa réduction de CO2 avec de la compensation car le changement climatique est imminent. Comme l’indiquent les experts du GIEC, il faut diminuer de 50 % nos émissions au niveau mondial d’ici à 2050 pour éviter une catastrophe climatique. Si l'on y arrivait, ceci ne supprimerait pas le réchauffement climatique mais permettrait de le limiter à 2 degrés supplémentaires à la surface de la terre. Compenser le CO2 est donc une mesure citoyenne nécessaire et urgente.

Planter un arbre

Il est possible d’agir sans attendre pour mitiger les effets du changement climatique sur notre planète. Planter un arbre permet de compenser nos émissions de la façon la plus simple et la plus efficace qui soit. Les arbres sont des capteurs de CO2 puissants. Ils dégagent de l'oxygène, empêchent l'érosion et gardent l'humidité du sol. Mais ils sont menacés par une déforestation accrue dans les pays du Sud. A elle seule, la déforestation représente 25% du changement climatique, soit davantage que l’industrie du transport (22%). Compenser ses émissions en plantant des arbres est donc s’attaquer à l’une des sources principales d’émissions dans le monde.

Tree-Nation lutte contre la déforestation

Les programmes de Tree-Nation visent à stopper le changement climatique et à reboiser le monde. Tree-Nation s’associe à des planteurs dans le monde entier pour développer des projets de reforestation aux standards élevés. Bel objectif que de lutter ensemble contre le changement climatique et la déforestation tout en faisant vivre l’économie locale. Les espèces d’arbres sont sélectionnées par rapport à leur potentiel de séquestration de CO2. Se situant proche de l’équateur, les plantations de Colombie et du Nicaragua bénéficient d’excellentes conditions pour capturer le CO2.

Tree-Nation, comment ça marche ?

Le monde entier peut planter un arbre sur une carte virtuelle. Pour cela, il suffit d’acheter un arbre et Tree-Nation s’occupe alors de planter un arbre réel à l’endroit choisi. Chaque arbre virtuel a un profil associé, permettant au « propriétaire » de voir son arbre évoluer étape par étape et d’interagir comme bon lui semble avec tous les autres planteurs d’arbres. Tree-Nation est également une plateforme communautaire globale de sensibilisation à l'environnement.

Pour une somme modique, je permets à Tree-Nation de planter 6 arbres par an. Contribuez, vous aussi, à la lutte contre la désertification et la déforestation pour favoriser un monde meilleur, en rejoignant la communauté Tree-Nation et en plantant les arbres de votre choix !

http://tree-nation.org/index_fr.html

Ce billet reprend des extraits tirés du site web Tree-Nation consulté le 26 février 2016.  

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20 février 2016

Les chansons à texte et l'actualité

Il y a parfois des chansons qui font écho à l'actualité. En l'occurrence, les paroles de la chanson de Jean-Jacques Goldman « Envole-moi » pourraient presque correspondre au vécu d'un syrien qui fuit son pays pour survivre.

« Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur

J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux

Envole-moi {3x}
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi {2x}
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi

Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y a jamais de saison pour être mieux

J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs

Envole-moi {3x}
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi {2x}
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi

Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi {3x}
Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi... ».

Le sens profond de ces paroles faisait référence, à l'époque où elle a été écrite, à la grisaille des banlieues et à la possibilité de s'en sortir par des moyens légaux, c'est-à-dire parvenir à franchir tous les murs grâce aux livres et la création, substituts à la violence.

10 février 2016

La diminution de l'empreinte écologique

Qu'est-ce que l'empreinte écologique ?

C'est un indicateur de la pression exercée par les hommes sur les ressources naturelles de la planète. Selon le WWF, l'humanité utilise déjà 30% de ressources naturelles en plus que ce que la Terre peut reconstituer. Pour maintenir notre niveau de vie tout en utilisant moins de ressources naturelles, nous devons diminuer notre empreinte à ce qu'une seule planète peut nous fournir.

L'élevage est un gaspillage de ressources

Le président du GIEC jusqu'en 2015, Rajendra Pachaury, déclarait qu'il faut 7 à 10 kg de végétaux pour faire 1 kg de viande boeuf. Il faut beaucoup plus de terres agricoles pour produire de la viande que pour produire directement des céréales destinées à l'alimentation humaine. Tant les céréales que le soja sont des denrées hautement nutritives, directement consommables par les humains. Les affecter à l’alimentation animale constitue un détour de production particulièrement inefficace. En 2006, la FAO communiquait qu'au total, ce sont 70 % des terres à usage agricole qui, directement ou indirectement, sont consacrées à l’élevage.

Nous polluons nos océans et surexploitons leurs ressources

Plus de 90 millions de tonnes de poissons sont pêchés chaque année, soit plus de 1000 milliards de poissons. A cela s’ajoutent les prises accessoires rejetées en mer. Presque 30 % des ressources halieutiques sont surexploitées. La surpêche a des conséquences écologiques dramatiques : « L’extinction écologique causée par la surpêche dépasse tout autre perturbation généralisée d’origine humaine sur les écosystèmes côtiers, incluant la pollution, la dégradation de la qualité de l’eau, et le changement climatique anthropique » (Jackson, 2001).

Les effets sur notre santé

De surcroît, consommer de manière excessive de la viande est préjudiciable à la santé humaine en provoquant des maladies cardiovasculaires, de même qu'une consommation excessive de poissons intoxique notre organisme. Les métaux lourds comme le mercure, le cadmium ou le plomb présents dans les poissons ont un impact sur notre système nerveux. Les dioxines et les PCB sont potentiellement cancérigènes. Les poissons prédateurs, les plus gros qui sont au sommet de la chaîne alimentaire, ont plus de chance d'accumuler les polluants. Et ce sont justement les saumons et thons qui sont les plus souvent privilégiés dans nos assiettes. On nous conseille aujourd'hui de ne pas en consommer plus de deux fois par semaine. Où allons-nous ? 

Comment agir ?

Conscients de tous ces facteurs, je pense que nous n'avons plus vraiment le choix : une diminution de la consommation de viande et de poisson est une urgence écologique et de santé publique pour les pays développés et émergents.

Je participe à la campagne des journées sans viande organisée en Belgique (Dagen Zonder Vlees) afin de diminuer fortement ma consommation de viande et de poisson, mais aussi en portant plus d'attention à des petits gestes quotidiens comme par exemple : limiter l'achat d'aliments sous emballages jetables ou jeter de la nourriture non consommée.

Cette initiative commence aujourd'hui jusqu'au 26 mars 2016, ce qui représente 40 jours pour agir en faveur de ma planète.

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Au terme des 40 jours, voici le résultat : J'ai réduit mon empreinte écologique de 576 m², économisé l'équivalent d'une consommation d'eau de 373 bains ou de la production de gaz à effet de serre de 827 km d'autoroute. Sans demander d'effort contraignant, cette initiative a un impact significatif. A méditer !

 

2 février 2016

L'attitude face au surnaturel

Face au surnaturel et à l'inexpliqué, nous réagissons généralement en raillant ou en ignorant cette thématique. C'est un réflexe très commun d'afficher un sourire entendu et d'en appeler au bon sens populaire. Nous préférons donc évacuer le sujet le plus vite possible. Nous sommes bien obligés de constater que, mis à part quelques chercheurs ou universitaires qui ont le courage et l'honnêteté nécessaires, la majorité adopte une attitude de déni.

Mais tout bien réfléchi, devons-nous vraiment adopter cette attitude simplificatrice et parfois dédaigneuse ? Ne serait-il pas possible de faire preuve d'une ouverture d'esprit suffisante pour envisager de faire entrer ces phénomènes ou expériences, décrits depuis l'aube de l'humanité, dans le champ de la réalité ?

Si l'inexpliqué ne rentre pas dans le cadre de la recherche scientifique actuelle, c'est peut-être que les conditions opérationnelles de cette science sont trop rigides, et qu'elle gagnerait à s'adapter aux phénomènes observés plutôt que d'exiger que ceux-ci entrent "au forceps" dans ce cadre. Il est peut-être temps d'inventer de nouveaux outils d'exploration de la réalité afin de faire progresser l'humanité dans sa compréhension du monde.

 

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